lundi 25 mars 2024

L'offensive de charme de MG pour ses 100 ans.


Au salon de Genève, MG, la centenaire anglaise passée sous le giron de BYD, a révélé de nouveaux détails sur le très attendu cabriolet Cyberster.
La Cyberster, avec son double moteur électrique et sa transmission intégrale, confirme son statut de voiture de série la plus rapide et la plus puissante à porter le logo emblématique de MG.La voiture passe de 0 à 100 km/h en 3,2 secondes. La puissance est de 536 CV (400 kW) avec un couple maximum de 725 NM (535 lb ft).

Le monomoteur Cyberster développe 340 ch (250 kW) avec un couple maximal de 475 Nm. L’accélération de de 0 à 100 km/h se fait en 5,2 secondes. ​

DIMENSIONS : Largeur 1,91 m - Hauteur 1,33 m - Longueur 4,54 m -Empattement 2,69 m

CARACTERISTIQUES :

0 à 100km/h : 3 s - Puissance 536 CV ou 400 Kw - Vitesse max 200 km/h - Conduite semi-autonome (niveau 2) - Couleur Rouge - Prix entrée de gamme 57000 euros - Nombre de places 2 - Nombre de portes 2 - Date de sortie 21/06/2024

Le style remarquable du Cyberster est encore rehaussé par une gamme évocatrice de couleurs de peinture et de finitions. ​ 

La couleur de lancement Dynamic Red sera rejointe par le New English White et deux couleurs de peinture métallisée, Camden Grey et Cosmic Silver. Le jaune Inca, très voyant, sera proposé en option. Les modèles Cyberster seront également dotés de toits noirs ou rouges.


La Cyberster sera rejointe par la MG4 Electric XPOWER 👈 et  la MG9 👈tout électrique, un monospace de luxe à 7 places. ​

Ces deux modèles illustrent parfaitement l’attrait dont jouissent les modèles MG dans le monde entier et démontrent la capacité de la marque à offrir à ses clients une sélection complète de modèles allant de la nouvelle supermini hybride MG3 à un monospace luxueux et spacieux comme la MG9.

Ce salon fût également l’occasion de découvrir pour la première fois les SUV et berlines haut de gamme technologiquement avancés de MG IM, y compris la première mondiale de la IM L6.

Les modèles de MG IM, qui seront disponibles en Europe d’ici 2025, se caractériseront par l’utilisation de technologies de pointe en matière d’aide à la conduite et de services intelligents et connectés au conducteur, ainsi que par des groupes motopropulseurs EV à la pointe de l’industrie.

La nouvelle IM L6 👈 entièrement électrique, devrait offrir des performances époustouflantes, avec une accélération de 0 à 100 km/h en moins de 3 secondes, ainsi qu’une autonomie exceptionnelle de plus de 600 kilomètres et 800 kilomètres dans deux versions différentes. (L’autonomie prévue de la berline IM L6 est basée sur la norme WLTP et s’élève à plus de 800 km (batterie solide) et plus de 600 km (batterie lithium-ion)).

vendredi 22 mars 2024

BrèVE ☝️: Infos et/ou intox ?

 Extrait d'un article de Transition & Energie 👈

" Des prévisions à prendre avec des pincettes des deux côtés

Le directeur exécutif de l’AIE, Fatih Birol, a ainsi déclaré avec emphase : « la transition vers les énergies propres est en cours dans le monde entier et rien ne pourra l’arrêter. Ce n’est pas une question de « si », c’est juste une question de « quand » – et le plus tôt sera le mieux pour nous tous ». La demande mondiale de pétrole descendra selon l’Agence en moyenne autour de 97 millions de barils par jour dans les années 2030 contre 102 millions de barils par jour en moyenne dans les années 2020.

De l’autre côté, l’OPEP (Organisation des pays exportateurs de pétrole), annonce évidemment, elle aussi année après année, que le monde n’est pas près de se passer de son précieux or noir. Dans une récente publication, elle se moque ouvertement de ceux qui ont annoncé depuis des décennies le fameux « peak oil » ou pic de la production et de la consommation de pétrole, y compris l’AIE. Pour le cartel pétrolier, la demande va continuer à croître au moins jusqu’au milieu du siècle pour atteindre 116 millions de barils par jour d’ici 2045.

Il faut prendre les prévisions de l’AIE comme celles de l’OPEP avec des pincettes. Les deux organisations ont des intérêts politiques et économiques qui sont tout sauf étrangers à leurs prévisions. " ... /...



vendredi 15 mars 2024

L’Alliance pour la décarbonation de la route: une Alliance pour des solutions de décarbonation plus efficaces ? Oui mais !

François Gémenne, du GIEC, Géraud Guibert, président de la Fabrique écologique et Patrice Geoffron économiste, ont , dans un communiqué (voir ci-après), vouloir mettre en avant « les solutions de décarbonation les plus efficaces afin de réussir la transition écologique et énergétique des mobilités ». Cette Alliance pour la décarbonation de la route, lancée conjointement par plusieurs acteurs publics et privés de la mobilité routière, a pour objectif de rapprocher les entreprises et les collectivités autour de solutions concrètes visant à réduire la pollution et les émissions de CO² sur nos routes par le recours à la mobilité électrique.

    Par contre prétendre décarboner la route en continuant à faire appel aux carburants combustibles émetteurs de CO² ou au recours à l'hydrogène et ses pseudos "e-fuels" dérivés énergivore s'apparente à une manœuvre d'enfumage

Jean-Claude LE MAIRE.

COMMUNIQUE DE PRESSE 12/12/2023 

Lancement de l'Alliance pour la décarbonation de la route, réunissant acteurs publics et privés de la mobilité routière 

Dans le prolongement de l’appel à accélérer la décarbonation du transport routier qu’ils avaient conjointement initié le 18 juin 2023, François Gemenne, co-auteur du rapport du GIEC, Patrice Geoffron, Professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine, et Géraud Guibert, Président de la Fabrique écologique, annoncent la création de l'Alliance pour la décarbonation de la route. Celle-ci réunit un large spectre d’acteurs des mobilités routières, publics comme privés : universitaires, collectivités territoriales, associations et entreprises (opérateurs de mobilités, gestionnaires d’infrastructures, constructeurs automobiles, transporteurs, groupes d’ingénierie, startups…). 

    Constituant une plate-forme pluridisciplinaire d'échanges et d'actions, l’Alliance a vocation à travailler en partenariat avec les pouvoirs publics pour concevoir et mettre en œuvre les solutions de décarbonation les plus efficaces afin de réussir la transition écologique et énergétique des mobilités. Pour l’Alliance, la priorité absolue est de fédérer et amplifier la mobilisation de toutes les parties prenantes concourant à la décarbonation de la route, en conjonction avec les mesures visant à encourager le report modal vers le ferroviaire, le transport public (BHNS, tramway, métro) et les modes actifs - leviers indispensables qui ne seront néanmoins pas suffisants à eux seuls pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre des transports à horizon 2030.  

    Pour accélérer la dynamique, il convient d’agir tant sur les technologies (électrification, gains d’efficience, préservation des ressources naturelles…) que sur les usages (taux d'occupation accru, réduction des distances…), afin de contribuer à une trajectoire de décarbonation viable socialement et économiquement. Des solutions concrètes existent : électrification du parc automobile et du parc de poids lourds, amélioration continue du mix énergétique pour le transport routier de marchandises, déploiement massif des bornes de recharge pour véhicules électriques, installation de stations de distribution de biocarburants, de bioGNV et d’hydrogène, préfiguration de routes électriques pour poids lourds, incitation orchestrée à la sobriété, au covoiturage, à l’autopartage et au transport collectif routier, développement des lignes de car express et lignes de covoiturage express, adaptation agile des infrastructures et des services à la multimodalité, production programmée d’énergies renouvelables le long des réseaux routiers et autoroutiers, etc. 

    La conviction partagée des acteurs de l’Alliance est que la décarbonation de la route demande à être placée de façon urgente au cœur du débat et de la décision politique, et requiert, pour l’avenir de la France, la mise en œuvre concertée d’un plan ambitieux d’investissements publics et privés. Dans cette perspective, le rôle de l’Alliance sera aussi d’impulser, de coordonner et d’encourager l'adoption par les usagers de la route de comportements écoresponsables, à grande échelle. 

    François Gemenne, professeur à HEC Paris et co-auteur du dernier rapport du GIEC : « Décarboner la route, massivement et rapidement, est une condition impérative pour espérer respecter nos objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Ce doit être une cause nationale, et c’est toute l’ambition de l’Alliance de la décarbonation de la route. Il y va de la responsabilité de la France face à ses obligations internationales, de la justice sociale au regard du dérèglement climatique, de la réduction des inégalités sociospatiales sur le territoire et de la préservation de l’industrie automobile française et de ses emplois ».  

    Géraud Guibert, Président de la Fabrique Écologique : « Il n’y aura pas de neutralité carbone sans décarbonation des transports, ni de décarbonation des transports sans décarbonation de la route. Même si les objectifs affichés de report modal vers le rail sont atteints d’ici 2030, la route représentera encore 75% des flux des transports ! La route est pourtant un parent pauvre des politiques publiques dans les transports depuis plusieurs années, alors qu’elle devrait être la priorité de la planification écologique ». 

    Patrice Geoffron, Professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine : « La route est le premier secteur émetteur de CO2 en France et les politiques publiques peinent à engager sa décarbonation depuis des décennies. Il est grand temps d’agir car le coût de l’inaction est massif : échouer à réduire les émissions de 30% d’ici 2030, impliquerait d’importer et de brûler 100 milliards d’euros de pétrole en plus… Il est impératif d’engager l’ensemble de l’écosystème des transports. Forts de l’appui de 15 experts, les acteurs publics et privés ont conscience de l’enjeu et se mobilisent dans le cadre de cette Alliance ». 

Les membres signataires de l’Alliance pour la décarbonation de la route : 

Association des Economistes de l’Energie, Avere-France, BMW Group France, ChargePoint, Nicolas DARAGON (Ville de Valence), Michaël DELAFOSSE (Montpellier Métropole), François DUROVRAY (Conseil départemental de l’Essonne), Ecov, Electra, Fédération Nationale des Transports Routiers (FNTR), Geodis, Getaround, GRDF, Karos, Keolis, Mobilité Club France, Powerdot, Systra, Transdev, VINCI Autoroutes. 

Experts : André BROTO, Michel DERDEVET (Confrontations Europe), Anna CRETI (Dauphine PSL), Laurent CHAPELON (Université Paul-Valéry Montpellier 3), Mathieu FLONNEAU (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Paulo MOURA (IMREDD), Fabien LEURENT (ENPC), Géraud GUIBERT (La Fabrique Ecologique), Patrice GEOFFRON (Dauphine PSL), Jean-Pierre ORFEUIL. 

lundi 11 mars 2024

V2G. La technologie de la future R5 expliquée à l'Argus par Mobilize


Le V2G (Vehicule to Grid), c'est quoi ? Alain Thoral, responsable Solutions Energie chez Mobilize, vous présente cette technologie qui sera développée avec la commercialisation de la Renault 5 en 2024.  En neuf questions et réponses simples, devenez incollable sur le sujet.
📕Au sommaire de cette vidéo : 
00:00 Introduction 00:31 Qu’est ce que le Vehicle-to-Grid (V2G) ? 00:48 Comment fonctionne le V2G ? 01:14 Quelles actions doit réaliser l’utilisateur ? 01:57 Quel est le risque pour la batterie ? 02:27 Ma voiture peut-elle se retrouver complètement déchargée ? 02:55 Combien coûte la borne Mobilize qui autorise le V2G ? 03:30 Quelles sont les économies promises ? 03:49 L’électricité de ma voiture renvoyée dans le réseau sert-elle à alimenter ma maison ? 04:17 Quand le service sera-t-il opérationnel ?

jeudi 29 février 2024

Démêler le vrai du faux au sujet des VE ( Ministère de l'Ecologie )

 


  • p. 3 « Une voiture électrique, avec la fabrication de la batterie, c’est plus polluant qu’une voiture thermique » 
  • p. 3 « Une voiture électrique,  c’est cher et réservé aux hauts revenus » 
  • p. 4 « On ne peut pas faire de long trajet  avec un véhicule électrique » 
  • p. 5 « Il est possible d’installer  des bornes de recharge chez soi »  (*)
  • p. 7 « Les véhicules électriques mettent beaucoup  de temps à charger totalement » 
  • p. 8 « Une voiture électrique ça tombe facilement en panne  et les pièces coutent plus cher » 
  • p. 8 « Les voitures électriques sont moins performantes  et on prend moins de plaisir à les conduire » 
  • p. 9 « Les voitures électriques sont moins sûres et moins fiables  à cause des risques d’accident de batterie » 
  • p. 10 « Une voiture électrique a une durée de vie moins longue  qu’une voiture thermique » 
  • p. 10 « D’ici 2030, les voitures électriques représenteront  une grande majorité des ventes de véhicules neufs » 
  • p. 12 « Par manque d’alternative, les batteries sont fabriquées dans des pays aux normes sociales et environnementales non exigeantes » 
  • p. 13 « Les voitures électriques consomment plus  qu’un véhicule thermique, car elles sont plus lourdes » 
  • p. 13 « Les véhicules anciens mis au rebut dans le cadre de la prime  à la conversion sont automatiquement détruits »
(*) NDLR : Concernant la recharge à domicile ou en parking privé ou public, la rédaction vous recommande également de prendre connaissance des solutions économiques de recharges mutualisées proposées par la société TEMLAB. 👈

samedi 24 février 2024

Le premier tracteur 100 % électrique au service d’une agriculture plus durable développé par Seederal.

Un an tout juste après l’annonce de sa première levée de fonds et un jour tout pile avant l'ouverture du Salon de l'agriculture, la startup brestoise Seederal dévoile son prototype de tracteur électrique. Ce démonstrateur technologique va lui permettre d’accélérer le développement du premier tracteur électrique de grande autonomie.


Une journée de travail en électrique

L’objectif est de développer un tracteur 100 % électrique de moyenne puissance (soit 160 chevaux) ayant une autonomie lui permettant d’effectuer une journée complète de travail. C’est le premier produit de l’entreprise et son design sera différent de celui du prototype actuel. Il sera révélé en 2025.

Pour autant, « ce prototype marque le franchissement d’une étape majeure vers la concrétisation de la mission de Seederal : apporter une nouvelle énergie pour accélérer la transition de l’agriculture », déclare Antoine Venet, co-fondateur de Seederal.

Les agriculteurs, parmi lesquels certains sont investisseurs de la première heure dans la société, « sont convaincus que notre solution contribuera à améliorer l’efficacité de leurs pratiques, et surtout à réduire leur dépendance aux énergies fossiles ».

Nouvelle phase de développement

Si le produit définitif est encore un secret pour l’instant, ce prototype en présente néanmoins certaines caractéristiques clés. « À notre connaissance, c’est le premier tracteur agricole sans boîte de vitesses. Et pourtant, depuis l’apparition historique de ces machines, tout tracteur est conçu puis construit autour de cet organe. Il s’agit donc d’un tracteur historique ! », abonde Arthur Rivoal, co-fondateur de la start-up. Si Seederal a pu s’en départir, c’est précisément grâce aux performances des moteurs électriques et à l’architecture de sa transmission.
Depuis son montage à la fin de l’été 2023, le prototype Seederal a fait ses premières accélérations à l’automne, puis a été finement paramétré. Pour l’équipe technique, les premiers essais ont été plus que concluants. Résultat, un tracteur plus léger que sa version thermique.

Place aux essais

Place maintenant à une campagne d’essais intensive en vue d’optimiser la conception du tracteur définitif. « Direction les champs bretons pour le démarrage de la saison agricole 2024. » Ce démonstrateur technologique va permettre d’accélérer le développement du premier tracteur électrique de grande autonomie.
Seederal veut se positionner désormais comme une véritable start-up industrielle. L’assemblage de son prototype est le premier témoin de son souhait de porter son projet à l’échelle industrielle en Bretagne.

jeudi 15 février 2024

L’Avere-France publie son second rapport semestriel sur le prix de la recharge publique entre juillet et décembre 2023.

Cliquer pour accéder
au rapport AVERE France

Le 15 février 2024, à Paris - À l'heure où la mobilité électrique connaît une expansion fulgurante, l'Avere-France, en collaboration étroite avec P3 Group, présente son second rapport semestriel sur le coût de la recharge publique pour les véhicules électriques. Ce rapport fournit une vision approfondie des tendances tarifaires des opérateurs de mobilité (eMSP) en France, offrant aux consommateurs des informations essentielles pour comprendre l'évolution de leurs dépenses.  

Une plongée en profondeur dans les coûts de recharge :  

Le rapport sonde et détaille coûts liés à la recharge des véhicules électriques en France, dévoilant les variations des coûts mensuels en fonction de paramètres tels que la puissance de recharge, la souscription à un abonnement et les habitudes de conduite. Ainsi, pour un conducteur typique roulant 11 000 km par an, les dépenses mensuelles oscillent entre 8,87€ et 18,00€ en recharge publique ; un conducteur longue distance ajoutera 63€ supplémentaires par mois. La recharge publique des véhicules électriques s'impose comme un choix économiquement pertinent, éclipsant les coûts de ravitaillement en carburant des véhicules thermiques. Par conséquent, le budget mensuel de mobilité d'un conducteur typique (80% de recharge à domicile, 20% de recharge publique) est en moyenne un tiers de celui d'un conducteur de véhicule thermique.  

Évolution des tarifications :  

Le rapport met en lumière les récentes évolutions des tarifs des sessions de recharge. En dépit de la mise en place du bouclier tarifaire de l'État, les prix de l'électricité ont connu une augmentation de 10% en août 2023. Toutefois, une tendance à la baisse des prix a été observée à partir de novembre 2023, en ce qui concerne la moyenne des offres de marché. Malgré les baisses du prix du kilowattheure (kWh), une augmentation du coût final de la recharge publique se fait sentir, influencée par des coûts auxiliaires et les initiatives des fournisseurs de services visant à améliorer l'expérience utilisateur. Le rapport répertorie et détaille ces coûts additionnels, qu'ils s'appliquent aux utilisateurs abonnés ou à ceux sans abonnement.  

Méthodologie :   

Ce rapport semestriel surveille les tarifs et les coûts de recharge du point de vue du client final sur la période de juillet à décembre 2023. En utilisant une méthodologie unique, le rapport offre une base uniforme pour comparer les modèles tarifaires et les prix proposés par les eMSP sur le marché français. Il s’appuie ainsi sur les grilles tarifaires de 17 eMSP représentatifs du marché français et présents à l’échelle nationale, régionale ou portés par un constructeur automobile. L’objectif des prochaines éditions sera d’élargir cette base et d’intégrer les prix de la recharge à l’acte pour obtenir une meilleure photographie de la situation.   

A propos de l’Avere-France :   L'Avere-France, créée en 1978, est l'association nationale pour le développement de la mobilité électrique en France. Avec plus de 270 adhérents, l'Association fédère un écosystème diversifié d'acteurs engagés dans la transition énergétique. Tiers de confiance pour les pouvoirs publics, les professionnels, les médias et le grand public, l'AvereFrance publie régulièrement des contenus de référence sur les questions d'électromobilité (batterie et hydrogène). L'association est fortement impliquée dans les projets de développement et de promotion de la mobilité électrique auprès des pouvoirs publics, tant au niveau national que régional. De plus, l'Avere-France pilote le programme Advenir, qui contribue de manière significative au développement des infrastructures de recharge en France par du financement et de la formation.   

À propos de P3 Group :  P3 est une société internationale de conseil, d'ingénierie et de développement de logiciels, en constante progression et s’appuyant sur une équipe de plus de 1800 experts couvrant les divers secteurs du monde industriel. Dès sa création en 1996, P3 a toujours fait preuve d'excellence en accompagnant ses clients dans leurs transformations, mais aussi en les guidant sur les avancées technologiques et les solutions logicielles nécessaires à leur développement. P3 offre ainsi une gamme complète de services et de solutions au service de l’industrie.